La finance peut être porteuse de sens

Les problématiques de gouvernance, de responsabilité sociale et environnementale ne sont pas un effet de mode, elles font partie de notre ADN et de nos préoccupations. Notre expérience de la prise en compte des critères extra-financiers dans la gestion des portefeuilles institutionnels et la compréhension des contraintes de chaque label nous conforte dans le choix des supports d’investissement en accord les objectifs de nos clients épargnants/investisseurs.

La performance des supports d’investissement n’est plus antagoniste de la prise en compte de critères extra-financiers comme la mesure des émissions de gaz à effets de serre ou de la pratique d’une gouvernance équilibrée en termes d’indépendance des administrateurs ou de mode de rémunération entre autres.

La gestion plus vertueuse des entreprises ou des investisseurs qui prennent en compte ces critères les tiennent généralement à l’écart des risques de fraude, des faits de « crimes contre l’environnement » ou encore des problèmes de gouvernance.

Le digital maitrisé permet un conseil augmenté

La possibilité qu’offre la technologie en termes de traitement de données, dans le respect de la confidentialité de celles-ci, ne permet de prédire l’avenir mais autorise nombre de simulations et de tests tant sur la partie fiscale que sur celle de la construction des portefeuilles.

Le conseil doit tendre vers l’indépendance

Le modèle de rémunération du conseil patrimonial doit lui permettre de réduire les situations de conflits d’intérêt en réduisant le trop fréquent empilement de commissions et en synchronisant rémunération du conseil et performance des portefeuilles.

Investissement de long terme :

Les stratégies que nous définissons s’inscrivent dans la durée pour deux raisons :

Seul le temps long permet de définir précisément les objectifs de chacun des projets, de procéder à leur mise en œuvre puis à leur développement et d’effectuer les éventuelles corrections de trajectoire.

Les investissement de long terme permettent de s’affranchir partiellement de la volatilité des supports ou projets qui composent les portefeuilles et d’en optimiser le rendement en profitant des primes d’ illiquidité.